La "révolution" de la fonction publique est une forfaiture, par Anicet Le
Pors Nicolas Sarkozy présente un « nouveau contrat social » ....lire la suite
Les propositions du MEDEF pour réformer le contrat de travail
Service Public de l’Emploi: Quel Avenir ? par Christophe
Blanchard SUD FPA-Solidaires Union Syndicale Solidaires des Hautes
Pyrénées
....lire la suite
Collectif Pour la Promotion et la Défense de l’École Publique de Proximité
Pétition Fusion GDF Suez Un diaporama effectué par la CGT 84 à voir
Les thèmes de la négociation sur la modernisation du marché du travail .....lire la suite
Projet de loi concernant le service minimum dans les transports ....voir document
Projet de loi sur les heures supplémentaire ....voir le document
Christian Hutin, député MRC, pour un « Interpol de la lutte antidopage » .....lire la suite
Le tour de France encore une fois dans la tourmente. Christian Hutin Député MRC du Nord demande l'ouverture d'un Groupe de travail parlementaire Pour lui il s'agit d'une nécessité politique au regard des enjeux de santé publique ....lire la suite
Le droit de grève n'est pas négociable ! L'objectif final de Sarkozy avec le "service minimum" c'est d'interdire le droit de grève dans les entreprises. Le pot –aux -roses ? ....lire la suite
Gouvernement Sarkozy : la première gorgée d’oseille par Michel Husson. .....lire la suite
Porcher: vraie reprise ou minable coup électoraliste? Au début du mois de février, American Standard, multinationale américaine de 60.000 salariés, a annoncé que, dans l'optique de sa cotation en bourse ...lire la suite L'Emploi salarié au premier trimestre 2007 (DARES18/06/2007)
LES 5 RAISONS DE REFUSER LA TVA « SOCIALE » selon la CGT La « TVA sociale » consiste en fait à réduire la rémunération de la force de travail au profit .....lire la suite
Contre la libéralisation du secteur de l’électricité. Défendons le service public !: Réunion publique le mercredi 13 juin à 20 h 00 au FIAP 30, rue Cabanis (M° Glacière) Avec Christiane Marty (conseil scientifique d’Attac) Pierre Khalfa (conseil scientifique d’Attac) Jean Barra (CGT Mines Energie) A l’appel des comités locaux d’Attac de Paris Centre, 9ème/10ème, 12ème, 14ème, 15ème, 20ème et du Collectif Parisien de Défense et de Développement des Services Publics (CDDSP 75)....lire la suite
Appel de l'Union Nationale des Retraités et Personnes Âgées sur les FRANCHISES MEDICALES ...lire la suite
Salariés: Le poids des déclassements a "plus que doublé" en 20 ans, selon l'Insee
Le poids des salariés ayant vécu un déclassement dans la hiérarchie socioprofessionnelle a "plus que doublé" en 20 ans, passant de 3% au début des années 1980 à près de 7% dans les années 2000, selon une étude Insee publiée le 19 décembre 2006. Dans un contexte de chômage toujours massif, l'Insee constate que le déclassement, encore "très rare entre 1980 et 1985", "n'est plus un phénomène marginal" entre 1998 et 2003, et a "plus que doublé". Le fait de "descendre l'échelle sociale" intervient "souvent à la suite d'un passage par le chômage ou l'inactivité", la mobilité descendante constituant "un moyen de conserver un emploi ou, pour les chômeurs, d'en retrouver un plus rapidement", note l'Insee, qui a limité son étude aux personnes âgées de 30 à 54 ans en fin de période. Hommes et femmes sont égaux face au déclassement, 6,6% des salariés et 6,8% de leurs collègues femmes ayant connu une trajectoire descendante en 1998-2003. Entre 1980 et 1985, leur proportion atteignait respectivement 3,2% et 3,1%. Parallèlement, les trajectoires ascendantes sont devenues "plus courantes", même si elles demeurent surtout l'apanage des hommes, selon l'Insee. Entre 1998 et 2003, 15,1% des salariés ont progressé dans la hiérarchie socioprofessionnelle, contre respectivement 9,7% entre 1980 et 1985. Un trentenaire sur trois a changé de catégorie socioprofessionnelle entre 1998 et 2003 (contre un sur cinq en 1980-85), ce qui "est sans doute le signe de recrutements effectués de plus en plus souvent en dessous du niveau de compétence" et "compensés ensuite par des promotions vers des métiers plus en accord avec la formation initiale", analyse l'Insee. Les chiffres sont en retrait pour les femmes, avec 10,5% de mobilité ascendante entre 1998 et 2003, contre 6,6% au début des années 80. Se mettre à son compte pour devenir artisan, commerçant ou chef d'entreprise reste une filière de promotion essentiellement masculine, empruntée par 80.000 ouvriers qualifiés entre 1998 et 2003, soit 3% d'entre eux. Les ouvrières qualifiées sont les plus mal loties de tous les salariés: une sur neuf (11,8%) a connu le déclassement entre 1998 et 2003. "Il s'agit principalement de femmes travaillant dans l'industrie qui, touchées par la diminution de l'emploi industriel, ont migré vers un emploi dans les services de niveau de qualification inférieur (aide ménagère, ...)", souligne l'Insee.
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